Le blog de libertissimots.erog.fr
C'était un mardi soir d'octobre une de ces journées de l'été indien…
Quand nous sommes arrivés au restaurant que tu avais choisi pour ses box individuels et discrets, tu frissonnais non de froid mais d'envie et de plaisir. Je savais d'après ta tenue une petite jupe sexy que tes dessous devaient être de dentelles j'en apercevais l'esquisse...
Au moment de t'asseoir je te susurrai à l'oreille « relève ta jupe que ta culotte soit en liaison directe avec le cuir de la banquette », nous nous asseyons l’un à coté de l’autre et j’enclenchai la télécommande de l'œuf vibrant que tu avais pris soin de mettre dans la voiture.
Lorsque le serveur fut à notre hauteur pour nous demander si on prendrait l'apéritif des ondes de plaisir submergeait ton bas ventre te laissant le souffle court puis tout doucement mon doigt s'insinua sous ta culotte explorant chaque recoin de tes petites lèvres jusqu'à trouver ton bouton d'amour tu écartas les cuisses, je le frôlais, je le titillais tout en sirotant mon apéritif pendant que tu griffais le cuir voyant le serveur revenir avec l'entrée je changeai de vitesse à la télécommande.
Quel doux plaisir de voir tes yeux révulsés brutalement j'arrêtai l'œuf te laissant frustrée à souhait je te laissai manger tout en caressant ton mont je me penchai à ton oreille et te suggérai « il est temps que tu ailles retirer ta culotte et tu me la donneras dans la main et n'oublie pas de relever ta jupe en t'asseyant ».
Tu te levas comme une automate en prenant le temps de m'embrasser et tu te dirigeas vers les toilettes.
Tu revins au moment où le serveur débarrassait. Je te tendis la main et devant les yeux ébahis du serveur tu y déposas ta culotte que je pris soin humer délicatement et avec grâce tu relevas ta jupe et t'assis à ce moment là je décidai de mettre l'œuf en puissance maxi quel régal de te voir manger et bouger essayant de retenir le plaisir ta main se dirigea vers ton antre essayant de ralentir les ondes de plaisir. Diabolique que je suis je fis tomber ma fourchette et me pencha pour la ramasser, profitant de cet instant pour lécher tes petites lèvres et subrepticement aspirer ton bouton te déclenchant un orgasme tu te mordis les lèvres pour ne pas crier ton corps fut secoué d'ondes. Je décidai d'abréger ta frustration je demandai très vite l'addition et la suite ne fut qu'un arrêt dans un parc public pour assouvir ton corps et une nuit à l'hôtel où les voisins ne durent pas dormir beaucoup.
Récit d’une soirée d’octobre à tes côtés ma Princesse.
beau récit ^^ bisous ninie
En tout cas ton récit hummmmm !!! un régal à lire comme toujours ....