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C’est un vendredi d’octobre un peu frisquet j’ai allumé la cheminée, mis des bougies parfumées un peu partout dans la maison … afin de créer une ambiance feutrée et intime.

Je t’attends avec une nouvelle nuisette très sexy comme tu aimes … 21h tu arrives, avances dans le salon je me lève pour te faire la place sur le canapé … je me pose à tes pieds et te propose quelques bulles (je sais que tu adores) j’ai préparé également quelques amuse bouche pour démarrer cette nuit …

Après de divines gorgées partagées avec nos langues mêlées … je t’invite à te mettre à l’aise et en te déshabillant je te mets un bandeau en te murmurant ce soir tu seras mon soumis … tu acquiesces sans problème …mes caresses se font douces et félines je remonte le long de tes cuisses musclées, et là sans crier gare je glisse ma main dans ton shorty en microfibre que je t’ai offert courant de la semaine …

Et, pour la première fois depuis nos retrouvailles je m’empare de ton mat dressé et entame un va-et-vient faisant apparaitre ton gland et, pour la première fois j’en apprécie la dureté. (Tu fais toujours passer mon plaisir avant le tien mais cette nuit je t’invite à connaitre une nouvelle contrée) …

Avec ma langue agile je dessine des sensations nouvelles avec lenteur mais habileté, je calligraphie des odes païennes que nul ne peut déchiffrer sur l’ensemble de tes monts masculins.

Maintes fois l’orgasme te guette mais je joue à la magicienne au porte de la jouissance, je fais durer l’instant au maximum… le temps ne se compte plus en seconde …

Je me délecte de ton premier suc délicieux et sucré, les prémices d’une explosion fulgurante.

Centimètre par centimètre mes lèvres, ma langue s’égarent, je te fais encore et toujours patienter, je te dis même patience Bébé, patience… j’aime me perdre pour la première fois sur ton jouet que je ne connais pas les réactions mais auquel je suis attentive, tu me laisses jouer.

A chaque mouvement de tes hanches, de ton corps qui approuve, au fil de tes soupirs je déguste ta source de plaisir.

Je fais tourner, tournicoter ma langue dardée sur ta rosée masculine, coulisse ma main pour t’exciter encore plus.

J’augmente la cadence, ralenti le jeu, je me réjouis de te voir aussi près du but …

D’un geste fou tu retires ma tête et inonde ton ventre de ce liquide que j’étais pour la première fois prête à te voler … je reprends en bouche l’objet de mon envie je veux tes dernières gouttes et les partager avec Toi … je remonte mêler ma langue à la tienne et dans un souffle tu me dis :

«Tu es une crevure mais qu’est ce que c’est Bon » !!!

Ton Aphrodite à mon Zeus.