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Ah qu'il était bon notre dernier coup de folie de cette fin septembre !! 

Tu avais ferré une brunette en plein divorce et tu m'avais demandé les clefs de mon appartement et aussi certaines choses …

Le jour dit tu arrivas avec ta conquête.

Dans la chambre parfumée et éclairée de bougies t'attendait une bouteille de champagne, 2 coupes et un gâteau,  mine de rien tu vérifias la fermeture de la porte du dressing tu souris à la glace tu savais qu'elle était sans tain et que derrière j'étais en position avec le numérique pour réaliser ton phantasme

Autant tu étais désirable et maitresse du jeu, autant elle, était anxieuse trempée c’est certain mais apeurée avec délicatesse tu l'effeuillas embrassant son cou, aspirant sa langue titillant ses tétons. tu la couchas sur le lit servit une coupe de champagne et la versa de son ventre à peine bombée sur son minou que tu t'empressas de lécher, d'avaler, d'aspirer, lui arrachant des râles de plaisirs lentement tu pris ton god à double tête lui fit sucer avant que tu joues avec lui sur le corps de ta partenaire aux mouvements saccadées de ton corps je voyais que tu étais hyper excitée  tu ne te força même pas sure de ton talent la belle partit très vite dans un orgasme  atomique tu te rejetas sur le lit et avec autorité amenas sa tête entre tes cuisses le message était limpide  la belle mis du cœur à l'ouvrage jouait avec sa langue sur ton bouton d’amour te faisant avoir beaucoup de plaisir   un peu de jouissance je me délectais à ma place je voyais que tu restais sur ta faim elle n'arrivait pas à avaler toute ta liqueur d'amour tu la fis venir sur toi pour une partie de clito contre clito tout en lui faisant une fellation de la langue c'est exceptionnellement divin à voir toute l'après midi ne fut que lutte le lit et le numérique s'en souviendront longtemps.

Quand la belle tenue par l'horaire décida de rentrer dans son foyer elle était persuadée de t'aimer elle t'embrassa goulument se rhabilla te demandant de remercier ton ami pour le prêt de sa garçonnière évasivement en souriant tu lui répondis : « oui oui » en souriant.

A peine la porte fermée je sortis de ma cachette te tendis le numérique et en homme lesbien je mis ma tête entre tes cuisses commençant par humer ton minou où l'odeur de la jouvencelle se mêlait à ton odeur, puis commençai à suçoter ton abricot tout en te massant très vite sous mes coups de langue tu laissas tomber le numérique te concentrant aux ondes de plaisir qui irradiaient ton ventre, je jouais avec ma langue, mes doigts les tartinant de ta liqueur et te les faisant lécher de temps en temps je ralentissais te faisant faire les montagnes russes te faisant supplier que je continue et malgré mon expérience je ne vis pas venir ton explosion titanesque subitement tu poussas de tes mains ma tête sur ton minou tu écrasas ma tête littéralement entre tes cuisses quand l'onde de choc se calma et que tu relâchas la pression et que je pus me libérer de l'étreinte de la pieuvre ou plus exactement de tes cuisses tu me souriais et me dis « je te déteste » ce qui dans ta bouche est le plus beau des compliments nous bûmes le champagne tout en mangeant les gâteaux comme tu étais hyper excitée tu me demandais si je voulais te faire un repas coquin et une nuit la plus hot que nous avons passé … comme j'acquiesçai tu pris le téléphone pour trouver une compagne de jeux mais ceci je le raconterai la prochaine fois …