Soirée électorale pour l'élection d'un maire récemment décédé. Tu avais accepté de m'accompagner uniquement car je t'avais promis une fin de soirée hot pour te remercier.
Élégamment vêtue, sans sous-vêtement, pour ce repas à priori ennuyeux. Tables spacieuses drapées jusqu'au sol, musique de fond pour couvrir les inévitables révélations sonores. Trop n’en faut afin de préserver la possibilité de dialogues.
Ton trésor ne s’ouvre que si l’on en possède la clé. Tu te donnes à mon envie. Tu te laisses envahir par mes doigts agiles et volontaires pendant que tu converses.
Ne pouvoir s’abandonner, la situation est totalement incongrue. Ton apparente sérénité cache une respiration qui s’accélère. Tu sais poliment feindre d’écouter deux des trois convives. Ils ne se doutent de rien sauf la brunette qui te fait des signes discrets passant sa langue sur ses lèvres d'un geste tu lui fais signe de regarder sous la table et ce qu'elle voit l'amuse, caché entre tes cuisses, ma tête sur ton intimité. Souffle chaud à ton abricot intime de la douceur d’une rosée. Moment de volupté procuré, la sève trouble les désirs encore inassouvis.
La chaleur monte en toi. Je respire les effluves
parfumés de miel de tes émotions ambiguës. Tu affiches un air détaché aux convives. Tu es encore en capacité de supporter tant d’aménités sans que ne transparaisse une quelconque
impression. Sauf à la brunette qui laisse glisser sa main sur tes jambes et ton bas ventre caressant ma chevelure …
Langue déliée, je donne vie à ton bourgeon libéré qui s’épanouit. Tu frémis de te sentir aspirer par ce désir sans fin. Tu soupires discrètement en portant un
verre à tes lèvres trinquant avec l'inconnue. En ces instants de douceurs si oppressantes, tu sens ta chair frémir. Profitant d’un éclat de rire d'un convive, tu glisses ta main entre
les cuisses de la belle inconnue et là oh surprise tu découvres qu'elle aussi ne porte pas de dessous.
Enivrée de ces plaisirs complices, vous sentez vos
chairs se diluer. Prendre sur soi ces délicieux tourments, c’est frustrant de ne pouvoir apprécier pleinement.
En ton espace bouillant, tes mets me sont ouverts à profusion. Les plaisirs de la chair En
voulant plus encore, tu te cambres. Attitude qui témoigne de ton excitation exacerbée que tu masques en faisant mine de redresser le buste. Comme le bon vin, ces plaisirs dissimulés mènent à
l’ivresse. Ils perturbent ton apparente sérénité et te ralentisse dans ta capacité à répliquer aux propos que l’on te tient. Décontenancée, tu es proche de chavirer.
Je me fais fin gourmet aux gonflés de tes envies, humidité requise. Consommant allègrement
ton délectable jouissance qui s’exprime, mes assiduités te déstabilisent ma langue écarte tes lèvres inondées de plaisir et va chercher au plus profond de toi.
Je t investis sans répit. Tu appuies un peu sur ma tête pendant que ta main fouille le buisson ardent de ta voisine. Je connais ce signe-là, véritable invitation à prendre plus encore. Dans ta moite profondeur, ma langue avide, suce, lèche, boit à ta fontaine de vie. Arme tendre au fourreau. Ne pas se laisser aller à exprimer tes sensations, ne pouvoir libérer tes émotions. Esprit en dérive, ton esprit vacille. Ma langue en ton intimité te parle en termes élogieux. Pendant la ritournelle de mes caresses buccales, les convives se lèvent te laissant seule avec la belle voisine qui se prénomme Eve, l’obscurité te permettant d'oser un baiser langoureux tu n'en peux plus. Tu serres fortement tes cuisses enserrant ma tête dans un étau. Sous ce feu de braise tout en toi explose. Tu jouis discrètement, complètement, intensément, en écrasant la main de Eve qui aussitôt t'emmène dans la chambre à l'étage pour une nuit à trois plus tard tu apprendras que Eve je l'avais consommée et mis en condition pour s'offrir à toi, à nos jeux pour l'anniversaire de notre rencontre.
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