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J’avais envie de toi et ce depuis ...

Ça ne s’explique pas. Ça se vit c'est comme ça il y a des femmes qui vous envoutent et c'est pour la Vie, vous ne pouvez rien y changer... même si vous changez de Femme ...

Soudain, en ce matin de Septembre, une soif inextinguible m’avait pris, partout dans le corps.

Ma bouche avait envie de ta bouche, ma langue de m’enrouler à la tienne. Mes mains avaient envie de tes petits seins ronds et fermes. Et surtout, mon objet d’Amour avait envie de se fendre en toi, devant, derrière comme tu aimes, dans ta bouche juste pour le plaisir sans que je t’offre ma semence tu sais que je n’aime pas cette dégradation de la Femme et toi non plus d'ailleurs (juste quelques gouttes ...) !!!.

Mais, j'avoue, ici et maintenant, j’avais une folle envie de toi, là, à cet instant sans me l’expliquer ni pourquoi, ni comment... pourtant je n’avais pas entendu le son de ta voix, je n’avais pas lu tes textes qui aiguisent mon esprit libertin et coquin !!!

Tu n’étais pas là près de moi... depuis trop longtemps à mon goût …

Il me restait bien ma tête. Elle tournait à plein régime, voire même à vitesse TGV comme tu sais me le faire remarquer si souvent avec humour.

Je fermais les yeux et sentais ton odeur, caressais ta peau de velours, me délectais de ta bouche et de ta cyprine qui envahit ton antre pendant l’Amour, j’allais et je venais dans ton ventre… attendant les soubresauts de ton corps, tout ça, rien qu’en fermant les yeux.

C’était bon, mais cela ne suffisait pas à éteindre mon envie de toi.

Mon corps, ma tête avait envie du tien. Et tu n’étais pas là.

Il me restait bien mon corps pour passer cette impressionnante envie.

Mes mains pouvaient exciter mon membre.

Mes doigts pouvaient stimuler mon gland, y faire naître le doux liquide annonciateur (que tu aimes léchouiller avec tant de plaisir, le picoter jusqu’à me faire frémir) mais cela ne suffisait pas plus à étancher ma trop grande soif de toi, et de ton miel acidulé et acide parfois. Je voulais me garder pour toi. Et tu sais toi qui me connait si bien que je ne suis pas de ceux là, (à me soulager seul) ...

Soudain, j’entendis la porte de mon chez moi s’ouvrir. Je levai les yeux de mon canapé où je m’étais posé.

Resplendissante comme toujours. Lumineuse comme les rayons du soleil d’automne. Si attirante et excitante à la fois.

Je ne pus résister, mon attente avait été trop longue.

Je t’ai prise dans mes bras. Je t’ai déshabillée sans trop savoir comment, sans presque te parler. Je te mangeais de partout comme tu aimes avec douceur et volupté. Tu étais si douce, si brulante et offerte à nos envies. J’allais et je venais dans ton ventre avec ma langue, mes doigts sur ton bouton d’Amour dardé comme jamais… tes seins s'offraient à mes caresses ... mais je ne rêvais plus, mes yeux étaient grands ouverts et se régalaient de toi, alors ton ventre m’aspirait et me serrait. Nos souffles étaient à l’unisson, de plus en plus courts. J’avais une envie folle de te donner ton plaisir pour mon plaisir, une déferlante secoua ton corps de déesse de l’Amour, c’était bon et si fort que tu crias et te mis à pleurer sous la force de cet orgasme ultra rapide mon "orgasmique précoce" nous recommençames là en prenant notre temps  …

Tant que mon envie de Toi sera là je serai en vie …