Nouvelle nuit avec Toi ma Belle ingénue,

Ah, le joli minou que voilà ! Comment te résister alors que, renversée sur le dos, tu m'offres une vue aussi charmante qu’un joyau dans une vitrine place Vendome … C’est donc sur ton intime bijou que je vais m’extasier ?

Je l'observe et mon simple regard bleu le fait gonfler de désir.

Tu sais que je ne résisterai pas longtemps à l'envie d'y apposer ma bouche et ma langue gourmande : c'est ton plaisir, et aussi le mien de jouer à te titiller, à te mordiller, te faire monter sur ce précipice orgasmique.
Je profite d’un palier pour gober ton bouton qui me tend ses lèvres odorantes et mielleuses…

Je me relève un peu pour un baiser des plus torrides.
Je te fais cruellement languir, me contentant de t'effleurer de mes doigts : il s'ouvre de lui même, et je hume ton parfum de femme.

Mes doigts accentuent légèrement leur pression, et tu t'ouvres encore un peu plus ma belle sensuelle.

Je te fais sucer un moment mes doigts, un, puis deux, puis trois, avant de les présenter à l'orée de ton sexe. Je te vois et t'entends soupirer d'aise et fermer les yeux lorsqu'enfin je te pénètre ainsi.
Tu mouilles déjà bien ton miel est la preuve de ton envie d’encore, et je fais lentement coulisser en toi mes doigts avant de dégager ton rubis d'amour et d'y apposer à nouveau ma bouche. Je l'embrasse, l’embrase, le suce et le lèche de suite, comme tu aimes, sans trop de préambules, sans violence mais avec passion, tu me cries "plus vite j’ai envie plus vite".
Tu agrippes le drap house à l’en décrocher, et colle mon visage à ton sexe qui mouille à flots.

J'embrasse la totalité de ton abricot, continuant mes assauts buccaux sur ton clitoris dardé et excité comme jamais … alors que mes doigts te fouillent profondément.

Ta respiration s'accélère et tu gémis, tu cries, tu me supplies, tu ne sais plus où tu en est, est ce l’alcool que tu as bu au court de cette soirée auprès des élus de notre agglomération urbaine, ou est ce juste moi qui sait mener la danse de ton corps en transe.

Même de ma position si peu confortable, je vois tes tétons durcir, regarder le plafond presque supplier de terminer cet entracte sexuel, ils se raidissent malgré leur lourdeur comme de jolis menhirs rosés, signe chez toi que l'orgasme se rapproche et cela très très vite.

Mes allers et venues en ton intimité dégoulinante cessent alors que mes doigts sont plantés au plus profond de ton sexe et je donne de petits coups de langue rapides, comme un chat qui lape son lait complété de miel, tout autour de ton bouton.

Ton ventre se creuse, la zone autour de ton cou rougit alors que ton orgasme explose, alors que tu cries à en réveiller les voisins, alors que plus rien n'existe que ma langue en toi et les flots puissants tu deviens femme fontaine c’est la première fois me hurles tu au plus fort  de ton plaisir..
Ce qui serait normalement la fin d’une nuit ….n'est chez toi que le début, et tu te retournes, t'allongeant sur le ventre et attendant la suite, je viens donc sur ton cercle interdit et joue à nouveau de ma langue quand tu ne peux plus attendre j’avance mon jouet tendu à son maximum et prêt à exploser et doucement entre … tu bouges pour me sentir au plus profond … nous entrons en danse rythmique et érotique … vient alors simultanément en accord un orgasme laiteux qui nous laisse sans voix...

Je m’endors épuisé et vidé … et alors que j’écris tu dors encore du sommeil du juste je t’observe du canapé … tes cheveux en bataille, ton corps alangui, à cet instant une envie me guette … mais je vais attendre ton réveil en me servant mon énième café !!!

J’avais envie de toi et ce depuis ...

Ça ne s’explique pas. Ça se vit c'est comme ça il y a des femmes qui vous envoutent et c'est pour la Vie, vous ne pouvez rien y changer... même si vous changez de Femme ...

Soudain, en ce matin de Septembre, une soif inextinguible m’avait pris, partout dans le corps.

Ma bouche avait envie de ta bouche, ma langue de m’enrouler à la tienne. Mes mains avaient envie de tes petits seins ronds et fermes. Et surtout, mon objet d’Amour avait envie de se fendre en toi, devant, derrière comme tu aimes, dans ta bouche juste pour le plaisir sans que je t’offre ma semence tu sais que je n’aime pas cette dégradation de la Femme et toi non plus d'ailleurs (juste quelques gouttes ...) !!!.

Mais, j'avoue, ici et maintenant, j’avais une folle envie de toi, là, à cet instant sans me l’expliquer ni pourquoi, ni comment... pourtant je n’avais pas entendu le son de ta voix, je n’avais pas lu tes textes qui aiguisent mon esprit libertin et coquin !!!

Tu n’étais pas là près de moi... depuis trop longtemps à mon goût …

Il me restait bien ma tête. Elle tournait à plein régime, voire même à vitesse TGV comme tu sais me le faire remarquer si souvent avec humour.

Je fermais les yeux et sentais ton odeur, caressais ta peau de velours, me délectais de ta bouche et de ta cyprine qui envahit ton antre pendant l’Amour, j’allais et je venais dans ton ventre… attendant les soubresauts de ton corps, tout ça, rien qu’en fermant les yeux.

C’était bon, mais cela ne suffisait pas à éteindre mon envie de toi.

Mon corps, ma tête avait envie du tien. Et tu n’étais pas là.

Il me restait bien mon corps pour passer cette impressionnante envie.

Mes mains pouvaient exciter mon membre.

Mes doigts pouvaient stimuler mon gland, y faire naître le doux liquide annonciateur (que tu aimes léchouiller avec tant de plaisir, le picoter jusqu’à me faire frémir) mais cela ne suffisait pas plus à étancher ma trop grande soif de toi, et de ton miel acidulé et acide parfois. Je voulais me garder pour toi. Et tu sais toi qui me connait si bien que je ne suis pas de ceux là, (à me soulager seul) ...

Soudain, j’entendis la porte de mon chez moi s’ouvrir. Je levai les yeux de mon canapé où je m’étais posé.

Resplendissante comme toujours. Lumineuse comme les rayons du soleil d’automne. Si attirante et excitante à la fois.

Je ne pus résister, mon attente avait été trop longue.

Je t’ai prise dans mes bras. Je t’ai déshabillée sans trop savoir comment, sans presque te parler. Je te mangeais de partout comme tu aimes avec douceur et volupté. Tu étais si douce, si brulante et offerte à nos envies. J’allais et je venais dans ton ventre avec ma langue, mes doigts sur ton bouton d’Amour dardé comme jamais… tes seins s'offraient à mes caresses ... mais je ne rêvais plus, mes yeux étaient grands ouverts et se régalaient de toi, alors ton ventre m’aspirait et me serrait. Nos souffles étaient à l’unisson, de plus en plus courts. J’avais une envie folle de te donner ton plaisir pour mon plaisir, une déferlante secoua ton corps de déesse de l’Amour, c’était bon et si fort que tu crias et te mis à pleurer sous la force de cet orgasme ultra rapide mon "orgasmique précoce" nous recommençames là en prenant notre temps  …

Tant que mon envie de Toi sera là je serai en vie …

Merci mon amoureux si lointain que j'aimerai toute ma vie

Et pour lequel je donnerai tout de moi

Je t'aime tant que j'ai envie d'être en octobre

Je t'aime de plus en plus chaque jour

Je t'aime d'un amour tendre pur et en toute simplicité

Réveille moi tous les matins avec des je t'aime

Berce-moi de tes mots doux tendres et sensuels.

Ta Princesse.

Au réveil un je t'aime mon amour

Quoi de plus beau,

Quoi de plus extraordinaire

Mes yeux se perlaient de t'avoir entendu

Ta princesse se réveillait

Sa voix était endormie

Quel réveil!!!!!! le plus exquis

Des "je t'aime" en n’en plus finir

Ta princesse a un amour fou à te donner

Un amour, disparut mais qui revit grâce à toi

Un amour, si lointain et si inespéré

Un amour, pour l'éternité

Un amour, fou, en pleine allégresse.

Ta Princesse.